Psychologie

Effet de stéréotypes négatifs sur la marche et l’équilibre des personnes agées

Chercheurs: M. Marquet (UPsySen), S.Adam (UPsySen), C. Schwartz (LAMH), C. Beaudart (Service de Santé Publique, d’Epidémiologie et d’Economie de la Santé), O., Bruyère (Service de Santé Publique, d’Epidémiologie et d’Economie de la Santé).

De nombreuses études rapportent les effets négatifs de stéréotypes sur la santé mentale des personnes âgées. Dans ce contexte, notre objectif est de vérifier si des informations négatives sur la perte d’équilibre lors du vieillissement peuvent affecter la performance des personnes âgées dans différents tests physiques.

Les personnes âgées de 65 ans et plus ont été recrutés parmi les sujets du projet SarcoPhAge qui ne sont pas sarcopénique ou à risque de chutes. Au cours de l’expérience, les sujets réalisent une série de tests physiques (le test Timed Up and Go et le test d’équilibre sur une jambe) avec peu ou beaucoup de stéréotypes en guise de consignes. Dans le groupe ou il y a peu de stéréoitypes, les tests sont décrits comme de la marche visant à analyser le mouvement en 3D. Dans le groupe ou les stéréotypes sont nombreux, les gens ont d’abord reçu des informations suggérant que les personnes âgées de 65 ans et plus ont plus de risques de chutes et de pertes d’équilibre. Ensuite, tous les tests ont été décrits comme des tests d’équilibre.

Selon la littérature, Les sujets du groupe ou les stéréotypes sont nombreux devront être plus vigilants à leur performance (Ils essayent de ne pas confirmer les informations négatives), ce qui pourraient perturber davantage le rendement du processus qui se fait généralement de façon automatique. Par conséquent, nous pouvons faire l’hypothèse que ces personnes auront une vitesse de marche inférieure et un équilibre plus pauvres comparativement aux participants de l’autre groupe.

Médecine Vétérinaire

Effets de nutraceutiques in vivo chez les chiens souffrants d’arthrose

Chercheurs: F. Comblain (UROC), Y. Henrotin (UROC), M. Balligand (Chirurgie et clinique chirurgicale des petits animaux), C. Schwartz (LAMH), N. Barthélemy (Chirurgie et clinique chirurgicale des petits animaux), M. Lefebvre (Chirurgie et clinique chirurgicale des petits animaux)
L’Unité de recherche des os et du cartilage (UROC) et le LAMH mènent une étude randomisée, en double aveugle, contrôlée par placebo clinique, comprise sur 50 chiens avec arthrose des membres pour enquêter sur les effets de l’alimentation formulées par la BCRU et Royal Canin. Ces chiens sont alimentés avec un régime standard ou le régime alimentaire anti-OA pour une période de 3 mois. Le résultat principal est la force verticale maximale mesurée sur la plateforme de force au LAMH. Les objectifs secondaires sont des biomarqueurs solubles développés par BCRU et commercialisés par ARTIALIS SA, une société spin-off de l’Université de Liège.